Kansei  vous remercie de votre présence hier soir !! merci de votre convivialité  et votre bonne humeur pour la soirée LIVE PICNIC  chez Trentotto Per tutti

Venez découvir le 1er numéro de la Gazzetta journal officiel de chez Trenttoto !!!!

Située sur la place Dupuy, ancienne place Dauphine, la fontaine Dupuy est la plus monumentale de Toulouse avec ses 19,20 mètres de haut.
Construite entre 1829 et 1832 selon les plans d’Urbain Vitry, elle fut érigée pour rappeler les mérites du général Dupuy commandant une armée sous Bonaparte.
Les sculptures furent réalisées par Griffoul Dorval. Ses hautes proportions sont équilibrées par les puissants griffons hiératiques grimaçant au-dessus de la vasque.
La colonne est surmontée d’une statue,  » Dame Tholose  » de Nicolas Bachelier, réalisée en 1550
Jadis située en haut de la tour des archives (Donjon du Capitole), Violet-le-Duc la fit descendre. Affublée de deux couronnes de lauriers, la Dame ainsi transformée en  » Renommée  » fut ensuite installée au-dessus de l’imposante fontaine Dupuy. Elle fut fondue par Claude Peillot sur un moule composé par Jean Rancy. La partie monumentale fut retraitée en 1996.
En octobre 2005, la statue de Dame Tholoze a été retirée de la fontaine pour restauration. Un moulage va prendre sa place de manière définitive, puisqu’une fois restaurée, la statue rejoindra la collection du musée des Augustins.

Cet hôtel particulier marque l’introduction de la Renaissance dans l’architecture toulousaine. La prospérité économique de Toulouse au XVème et XVIème siècles est liée au commerce d’une teinture de couleur bleue, le pastel. Jean de Bernuy, commerçant espagnol, s’installa dans notre

ville et fit appel à de célèbres artisans pour bâtir cette demeure organisée autour de deux cours intérieures, proche des Jacobins. Célèbre pour sa tour capitulaire, une des plus hautes de la ville, elle témoigne de sa puissance sociale et de son accession au capitoulat. Depuis le début du XIXème siècle, l’hôtel particulier héberge le collège Pierre de Fermat.

Créés en 1961 pour les besoins internes de l’entreprise, les systèmes d’aménagement modulables USM sont rapidement devenus le produit phare de la société.Les systèmes d’aménagement modulables USM sont des solutions sur mesure, grâce auxquelles extensions et transformations se font au gré des besoins, qu’il s’agisse d’habitats privés, de bureaux professionnels ou d’espaces polyvalents.

Comme la vie elle-même, les espaces dans lesquels nous vivons sont en évolution permanente. Les tendances d’aménagement et les besoins d’espace se modifient sans cesse. Les objets vont et viennent que ce soit en raison d’innovations technologiques, du désir de compléter une collection ou d’un projet de déménagement. Une chose reste constante, en revanche : notre intérieur reflète notre façon de vivre et de penser. On y passe du temps, on s’y détend et on y profite de nombreux moments de vie. C’est pourquoi un mobilier modulable et évolutif est indispensable. Grâce à leur modularité, les systèmes d’aménagement USM peuvent être réinventés et s’adapter aux changements, devenant à leur tour l’un des symboles de ces différentes étapes de vie, à l’instar d’objets de valeur qui nous accompagnent des années durant.

Grâce à son concept de modularité, USM propose depuis des décennies des solutions face aux évolutions du monde du travail et aide à créer de la valeur ajoutée.
La demande croissante et la conception de postes de travail flexibles et durables exigent un nouveau type d’aménagement de bureaux. À une époque où les entreprises sont en mutation permanente, un système de mobilier modulable et extensible intégrant toutes les dimensions possibles de durabilité n’accompagnera pas seulement les évolutions de l’entreprise dans le temps, il se révèlera également être un véritable facteur de réussite.

Jean-Luc Moudenc, accompagné de Martin Malvy président de région Midi-Pyrénées et de Jean-Jacques Bolzan, président du marché d’intérêt national (MIN), inaugurait hier une nouvelle halle aux fleurs et un nouveau carreau, espace dédié aux fruits et légumes, du MIN.

Un chantier aux airs de challenge, treize mois à peine ayant suffi aux architectes d’AR-QUO, Jean-Louis Jérémie et Patrice Cagnasso, pour mener à bien le projet tout en maintenant l’activité. Résultat étonnant, l’immense espace éclairé a giorno tient plus du musée d’art contemporain que du classique bâtiment industriel. Prouesse technique aussi, la matière florale ayant besoin de températures variables selon les saisons. Agencé autour d’une rue principale, chaque exploitant possède son espace propre.

Le marché toulousain est le second de l’Hexagone derrière celui de Rungis. 270 000 tonnes de fruits et légumes y transitent chaque année, qui représentent le premier poste du MIN, la marée se plaçant sur la seconde marche. Avec l’avènement de la prochaine région qui intégrera le Languedoc-Roussillon, Toulouse deviendra logiquement le pôle agroalimentaire du sud-ouest. Signe des temps, le bio fera son apparition dès le mois de février. Une priorité pour les responsables qui entendent bien dans un proche avenir faire la part belle aux producteurs locaux.

Bijou de technologie, cet espace, équipé pour la fibre optique, est recouvert d’un béton innovant facilitant le nettoyage et l’entretien. Cerise sur le gâteau, dans un quartier où l’esthétisme n’est pas toujours une priorité, une «façade signal», selon ses créateurs, est visible par tous depuis l’avenue. La partie basse du bâtiment, dans les tons de gris, est constellée de termes floraux gravés à même le revêtement. La partie supérieure, en matière translucide, reflète de manière aléatoire la lumière dès le coucher du soleil. Inauguré en 1964, le MIN est en phase avec l’époque, privilégiant gestion des déchets, tri sélectif, récupération et réutilisation des eaux pluviales pour l’arrosage et le nettoyage. Une démarche de développement durable.

Depuis mardi 25 novembre, la ville est illuminée pour les fêtes de fin d’année ! Au total, ce sont 35 km de guirlandes basse consommation en centre-ville et dans les quartiers qui donnent un air de fête jusqu’au 19  janvier  2015 !Une convention lie la Ville de Toulouse, la Chambre de Commerce et d’Industrie (CCI) et la Chambre des Métiers et de l’Artisanat sur les fêtes de fin d’année et les illuminations afin de soutenir l’activité économique. Les commerçants et artisans participent financièrement au dispositif afin de permettre une campagne d’illuminations harmonieuse et solidaire. 100 % des guirlandes sont équipées des lampes LED

La cathédrale Saint-Étienne de Toulouse est une cathédrale catholique romaine située près du Grand-Rond, à Toulouse, dans le département de la Haute-Garonne. On ne connaît pas les origines de la cathédrale. Ses premières traces datent de 1071, quand l’évêque Isarn décida de reconstruire l’édifice, alors en ruine. Son architecture est particulière car elle est composée d’éléments architecturaux de diverses époques. La cathédrale jouxte l’ancien palais épiscopal, aujourd’hui occupé par la préfecture.

Les architectes toulousains Francis Cardete et Gérard Huet annoncent leur intégration au sein du groupe Amsycom, spécialisé dans le conseil à l’ingénierie immobilière et la programmation. Le nouveau groupe représente 150 collaborateurs et un chiffre d’affaire de 28 M€. 

De deux maux il faut choisir le moindre… C’est sans doute ce qui a décidé Francis Cardete et Gérard Huet à rejoindre le groupe Amsycom (siège administratif  à Paris, siège social à Strasbourg).

Remarqués pour leurs nombreuses réalisations emblématiques à Toulouse depuis trois décennies, les deux architectes avaient en effet été approchés ces derniers temps par des fonds de pension et des chasseurs de sociétés, intéressés par une agence qui pointe dans le top 20 en France et réalise un chiffre d’affaires de 8 M€. « Nous n’étions pas du tout dans cette optique là. En revanche, nous avions le souhait de pérenniser notre entreprise et nous ne sommes pas éternels… C’est pourquoi nous avons choisi d’intégrer le groupe Amsycom », raconte Francis Cardete qui avoue « un moment pas facile à passer ».